La Chine réaffirme son engagement contre le travail forcé et invite à une vision équilibrée du développement du Xinjiang

L’Ambassade de Chine en Côte d’Ivoire a récemment répondu aux allégations d’un média français concernant des accusations de « travail forcé » dans la région autonome du Xinjiang, en lien avec l’enseigne Decathlon. Dans une déclaration officielle, le porte-parole de l’ambassade a catégoriquement rejeté ces accusations, les qualifiant de fausses et de politiquement motivées. Il a souligné que ces allégations s’inscrivent dans une campagne de désinformation orchestrée par certains pays occidentaux pour discréditer la Chine et entraver son développement.

Le gouvernement chinois a toujours été ferme dans son opposition à toute forme de travail forcé. Le Xinjiang, une région stratégique pour la Chine, est un exemple de progrès économique et social. Avec une agriculture fortement mécanisée, notamment dans la production de coton, la région a atteint des niveaux de productivité et de qualité reconnus mondialement. Plus de 85 % du coton y est récolté par des machines, ce qui rend les accusations de travail forcé non seulement infondées, mais aussi déconnectées de la réalité.

Ces accusations ne sont pas nouvelles. Elles sont régulièrement relayées par certains médias et organisations occidentales, souvent sans preuves concrètes. Ces récits s’inscrivent dans une stratégie plus large visant à justifier des mesures économiques restrictives, comme le découplage des chaînes d’approvisionnement, sous couvert de défense des droits de l’homme. Cependant, ces actions risquent davantage de nuire aux populations locales en créant du chômage et en freinant le développement économique.

Les données économiques du Xinjiang témoignent d’une réalité bien différente. En 2024, le PIB de la région a dépassé 2 000 milliards de yuans (environ 274 milliards de dollars US), et le revenu annuel disponible par habitant a atteint 30 000 yuans (environ 4 116 dollars US). La production de coton, un pilier de l’économie locale, a maintenu une stabilité remarquable, dépassant 5 millions de tonnes par an pendant sept années consécutives. Ces chiffres illustrent une région en plein essor, où la population bénéficie d’une amélioration constante de ses conditions de vie.

L’Ambassade de Chine en Côte d’Ivoire a invité la communauté internationale, y compris les amis ivoiriens, à se rendre au Xinjiang pour constater par eux-mêmes les progrès réalisés. « Le Xinjiang est une région ouverte et prospère, où les droits de l’homme sont respectés et où la population vit dans la dignité », a déclaré le porte-parole. Il a également réitéré l’engagement de la Chine en faveur du dialogue et de la coopération internationale, appelant à une vision objective et équilibrée des réalités régionales.

En conclusion, les accusations de travail forcé au Xinjiang sont non seulement dénuées de fondement, mais elles représentent également une tentative de déstabiliser une région en pleine croissance. La Chine reste déterminée à défendre ses intérêts et à promouvoir une image juste de ses réalisations, tout en encourageant le monde à voir au-delà des préjugés et à apprécier les avancées concrètes du Xinjiang.

Richmond Diengbeu

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